La plus grande bénédiction de Dieu au Prophète de l'Islam (psl)
La 108ème sourate du Coran est la sourate « Kawsar », une sourate mecquoise de 3 versets, et la 15ème sourate révélée au Prophète (psl).
Dans cette sourate, une bénédiction de Dieu au prophète (psl) appelée « Kawsar », est mentionnée, qui signifie « un grand bien » et est aussi le nom d'une rivière au paradis.
Diverses interprétations de ce mot ont été données comme la religion, l'islam, la prophétie, le Coran, un grand nombre de fidèles et de musulmans, Fatemeh, la fille du Prophète (sa), et les descendants du Prophète (psl), c’est-à-dire les Saints Imams (as).
De nombreux commentateurs considèrent que la bénédiction que Dieu a donnée au Prophète (psl) est sa fille, Fatemeh Zahra (sa), car cette sourate est une réponse à ceux qui considéraient le Prophète comme sans descendance, parce qu'il n'avait pas de fils.
Tous les versets de cette sourate sont adressés au Prophète (psl) et ont pour but de le rassurer face aux difficultés et aux railleries des incroyants. Cette sourate est une bonne nouvelle pour le Prophète (psl) qui doit louer Dieu pour cette bénédiction, si grande et si importante.
Le deuxième verset ordonne au prophète (psl) de remercier Dieu par la prière et le sacrifice. Certains commentateurs considèrent seulement la prière et d'autres, en fonction du verset : « فَصَلِّ لِرَبِّكَ وَانْحَرْ » disent qu’il s’agit aussi d’un sacrifice comme sacrifier un chameau.
Le troisième verset fait allusion aux railleries des polythéistes qui disaient que le Prophète (psl) n’avait pas de fils et était donc sans descendance. Dieu réconforte le Prophète (psl) et lui annonce que c’est celui qui l'a insulté qui sera sans descendance.
